On y travaille, Michèle et Marianne sont sur les dents...GGRRR De très beaux films en perspective, ce sera en Mars du 11 au 17 Mars, et un super concert le 7 mars.
en attendant Lhasa la llorona réécoutez ce disque formidable...
très bientôt le programme détaillé, mais déjà quelques films ont leur place:
La Llorona sorti en France il y a quelques semaines (22 Janvier 2020), un grand film du guatémaltèque Jayro Bustamante (Ixcanul, Tremblement)
Nuestras madres un film réalisé par César Díaz avec Armando Espitia, Emma Dib. Guatemala, 2018
Aujourd'hui les recherches des corps des disparus de la dictature militaire :
Aujourd'hui les recherches des corps des disparus de la dictature militaire :
Article de Wikipedia
Le 7 mars 1982, le général Ángel Aníbal Guevara (en), candidat officiel du Frente Democratico Popular (FDP), successeur désigné de Romeo Lucas Garcia, gagne l’élection présidentielle, cependant largement dénoncée comme ayant été entachée de fraude, par ses opposants de droite comme de gauche. Le 23 mars, avec le soutien de leurs compagnons d'armes, le général Horacio Egberto Maldonado Schaad, le colonel Francisco Luis Gordillo Martínez et Ríos Montt prennent le pouvoir à la suite d'un coup d'État, discrètement appuyés par la CIA, déposant le général Romeo Lucas García.
Ils installent une junte militaire, avec Ríos Montt à sa tête, qui, déclarant l'état de siège, suspend immédiatement la Constitution, établit des tribunaux secrets, et entame une campagne contre l'opposition civile, utilisant l'enlèvement, la torture et les assassinats extra-judiciaires. Ce coup d’État, œuvre d'Oficiales jovenes (jeunes officiers militaires), est alors destiné à empêcher l'investiture de Guevara au poste de président le 1er juillet. Elliott Abrams, membre éminent de l'administration Reagan, félicite Efraín Ríos Montt pour avoir « apporté des progrès considérables sur la question des droits fondamentaux »5.
Lors de sa courte présence au pouvoir, Efraín Ríos Montt met en place les Patrullas de Autodefensa Civil (PAC, ou Patrouilles d'autodéfense civiles), miliciens recrutés de force par l'armée et ayant comme objectif d'éradiquer la guérilla, tandis que l'unité de contre-insurrection, les Kaibiles, fait preuve d'une cruauté extrême. Ainsi, 440 villages sont complètement rasés (massacre de Dos Erres de décembre 1982, etc.), près de 10 000 Indiens massacrés ou jetés par hélicoptère dans l'océan Pacifique. La Commission pour l'éclaircissement historique recensera, en 1999, que l'ultra-majorité des crimes commis (93 %) lors de la guerre civile ont été commis par l'État (paramilitaires inclus) et qu'une très grande partie de ceux-ci ont été commis sous la dictature de Ríos Montt.
Le 7 mars 1982, le général Ángel Aníbal Guevara (en), candidat officiel du Frente Democratico Popular (FDP), successeur désigné de Romeo Lucas Garcia, gagne l’élection présidentielle, cependant largement dénoncée comme ayant été entachée de fraude, par ses opposants de droite comme de gauche. Le 23 mars, avec le soutien de leurs compagnons d'armes, le général Horacio Egberto Maldonado Schaad, le colonel Francisco Luis Gordillo Martínez et Ríos Montt prennent le pouvoir à la suite d'un coup d'État, discrètement appuyés par la CIA, déposant le général Romeo Lucas García.
Ils installent une junte militaire, avec Ríos Montt à sa tête, qui, déclarant l'état de siège, suspend immédiatement la Constitution, établit des tribunaux secrets, et entame une campagne contre l'opposition civile, utilisant l'enlèvement, la torture et les assassinats extra-judiciaires. Ce coup d’État, œuvre d'Oficiales jovenes (jeunes officiers militaires), est alors destiné à empêcher l'investiture de Guevara au poste de président le 1er juillet. Elliott Abrams, membre éminent de l'administration Reagan, félicite Efraín Ríos Montt pour avoir « apporté des progrès considérables sur la question des droits fondamentaux »5.
Lors de sa courte présence au pouvoir, Efraín Ríos Montt met en place les Patrullas de Autodefensa Civil (PAC, ou Patrouilles d'autodéfense civiles), miliciens recrutés de force par l'armée et ayant comme objectif d'éradiquer la guérilla, tandis que l'unité de contre-insurrection, les Kaibiles, fait preuve d'une cruauté extrême. Ainsi, 440 villages sont complètement rasés (massacre de Dos Erres de décembre 1982, etc.), près de 10 000 Indiens massacrés ou jetés par hélicoptère dans l'océan Pacifique. La Commission pour l'éclaircissement historique recensera, en 1999, que l'ultra-majorité des crimes commis (93 %) lors de la guerre civile ont été commis par l'État (paramilitaires inclus) et qu'une très grande partie de ceux-ci ont été commis sous la dictature de Ríos Montt.
Encantado, un documentaire sur Rio de Janeiro de Filipe Galvon, en présence du réalisateur avec qui nous avons sympathisé à Biarritz.
Filipe Galvon : "Le désenchantement brésilien, c'est la chute d'un système politique"
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