CAFE LITERARIO 2021


Nous en rappelons le principe. Il s’adresse à tous les amoureux de la lecture et en particulier à tous les amoureux de l’Amérique Latine et de la péninsule ibérique.




Les Amis se retrouvaient régulièrement pour leur « Café Literario », bien sûr autour d'un café mais de bien d'autres bonnes choses encore , depuis 2014 à La Passerelle puis, depuis sa création à La Bobine. 

Aujourd'hui, automne 2021, nous changeons de lieu: désormais nous nous rencontrerons à la Médiathèque pour des évènements culturels. 







Ouverte à tous ceux qui ont aimé un roman ou tout autre ouvrage d’un auteur espagnol ou latino, ou qui traite d’un sujet lié aux pays de langue espagnole, la rencontre permet à tout un chacun de venir faire part de leur intérêt.
Mais c’est aussi la possibilité de découvrir un ouvrage, un auteur pour les nouveaux amis potentiels, fidèles des club de lecture ou de la médiathèque. Venez nombreux!!



Prochain rendez-vous 

Mercredi 20 octobre à 19h 
pour accueillir comme chaque année à la rentrée un écrivain latino récemment publié en France. Cette année, nous recevrons l'écrivain mexicain Antonio Ortuño pour son dernier roman ( un polar mais pas que...) qui nous plonge dans un Mexique contemporain. 
Thierry Rousseau mènera l'interview  avec la présidente Michèle Carbonneaux et nous pourrons bien-sûr  dialoguer avec eux autour d'un pot.





Olinka de Antonio Ortuño, traduit de l’espagnol (Mexique) par Margot Nguyen-Béraud aux Éditions Christian Bourgois. 295 p., 21,80 €. 


Présentation par l'éditeur:


Olinka

Après quinze ans, Aurelio Blanco sort de la prison où il a été incarcéré pour son rôle dans l’escroquerie d’Olinka, un complexe de luxe construit suite à l’appropriation de terrains publics. Par loyauté aux Flores, sa famille politique, Aurelio endosse la faute contre la promesse de sortir vite de prison, avant d’être abandonné à son sort. À nouveau libre, il compte bien récupérer ce qu’on lui a volé : son foyer, sa fille, sa vie.
Olinka aborde la crise d’un clan des affaires de Guadalajara, capitale et paradis du blanchiment d’argent. C’est là que les Flores ont construit leur ville. Mais la réalité mexicaine transforme les utopies en farces sanglantes, et la multiplication des projets immobiliers est un signe clair de la corruption rampante.
Avec ce roman (très) noir, Antonio Ortuño confirme qu’il est l’un des observateurs les plus lucides des impasses et de la violence, sous toutes ses formes, de son pays.
Traduit de l’espagnol (Mexique) par Margot Nguyen Béraud.


La vie doit reprendre... Octobre 2020

Les masques sur le nez bien éloignés les uns des autres, nous avons eu néanmoins le plaisir de rencontrer


William NAVARRETE

qui nous a présenté son dernier roman. 

VIDALINA* 




Il y a mis beaucoup de l'histoire personnelle de sa famille dont il a récemment suivi une branche, celle de son arrière grand-mère paternelle sur l'île des Pins, colonie pénitencière de Cuba. Mais bien-sûr le talent, l'érudition et le travail acharné du romancier nous transporte bien au delà, dans de nombreux pays à différentes époques!
EAN : 9782490155057
410 pages
Éditeur : EMMANUELLE COLLAS (05/04/2019)




 Très belle soirée pour les fidèles qui ont découvert et apprécié les qualités de cet auteur si sympathique qui a su nous intriguer et nous donner envie de découvrir au fil des pages les péripéties d'une histoire d'amour aux multiples rebondissements.













VIVA EL CINE LATINO 2019

LA PASSERELLE nous accueille 

le jeudi 21 Mars à 19h30 


pour une soirée Colombie à 19h30 avec Silvia Castillo, colombienne, spécialiste de l'écologie et de l'environnement. Elle a travaillé dans plusieurs pays d'Amérique latine: Brésil, Equateur, Bolivie et en France.


le Vendredi 29 Mars à 19h30


Rencontre avec  Maria Isabel Mordojovich , chilienne, qui nous présentera son roman "Piedras Blancas". Une approche littéraire après le documentaire de Nani Moretti sur le coup d'état militaire de Pinochet. Ou comment l'armée chilienne a conditionné ses jeunes recrues à commettre les pires exactions au nom de la défense de la patrie. 






















INDOMPTABLE de l'écrivain Cubain Vladimir Hernández.


Indomptable, de Vladimir Hernández, traduit de l’espagnol (Cuba) par Olivier Hamilton, éd. Asphalte, 256 p., 21 €. Vladimir Hernández en espagnol : Indómito, Roca, Barcelone / Habana réquiem, Harpercollins, Madrid.

Né en 1966 à Cuba, ce jeune ingénieur,  écrivain depuis les années 1980 , est récompensé par un prix littéraire espagnol, Prix UPC,  pour son roman Signos de guerra  et  s'installe à Barcelone en 2000.

Son premier roman policier dédié à Manuel Vasquez Montalban,  a été récompensé par le Prix International du Roman Noir de l’H Confidencial (Espagne). Ce qui nous vaut l'honneur de le recevoir ce jeudi soir grâce à l'association espaces latinos qui organise le festival  de littérature "Le temps des Belles Latinas" . 






espaces latinos



















Prochaine rencontre amicale à la librairie Passerelle

Jeudi 8 juin à 19h30
 Rencontre témoignage
avec Elvira Ezcurra, qui nous parlera de l'Argentine de ces dernières décennies.
Entre témoignage personnel et littérature et en musique aussi..
Sa petite fille évoquera à la guitare et au chant cette Argentine que nous aimons tant.
Belle soirée en perspective avec gourmandises au programme .
(sans doute alfajores et empanadas..) 

A bientôt





Après la conférence sur Cuba du Lundi 20/03







Café literario 

C'est Jeudi 26 Mai à 19h30



Expérience Nicaragua

L'invitée de ce Café literario sera Inès Maire-Amiot, originaire deDole, diplômée en 2014 de l'Ecole Nationale des Travaux Publics de l'Etat (ENTPE) de Lyon.

Lors de ses années d'études, elle a eu la chance de partir en stage de l'autre côté de l'Atlantique et en particulier au Nicaragua. Elle s'est engagée au sein de l'ONG, Ayopo Urbano, pour travailler sur les questions environnementales dans le cadre de la révision d'un programme de développement territorial. De retour dans sa Comté natale, elle est aujourd'hui chargée de mission Plan Climat au Grand-Dole et au Pays Dolois. Elle propose en association avec les Amis des Belles Latines de nous relater son expérience.

A travers des exemples tirés de sa mission professionnelle, nous verrons comment sont appréhendées les problématiques liées à l'eau, aux déchets, à l'agriculture, aux risques naturels et à l'aménagement dans ce pays en développement. Nous voyagerons également avec elle aux quatre coins du Nicaragua, car bien sûr le voyage fait aussi partie de l'expérience!








CAFE LITERARIO



Le prochain, c'est vendredi...27 Novembre

Nous en rappelons le principe. Il s’adresse à tous les amoureux de la lecture et en particulier à tous les amoureux de l’Amérique Latine et de la péninsule ibérique.

Les Amis se retrouvent régulièrement pour leur « Café Literario », bien sûr autour d'un café mais de bien d'autres bonnes choses encore depuis 2014 à La Passerelle. Ouverte à tous ceux qui ont aimé un roman ou tout autre ouvrage d’un auteur espagnol ou latino, ou qui traite d’un sujet lié aux pays de langue espagnole, la rencontre permet à tout un chacun de venir faire part de leur intérêt. Mais c’est aussi la possibilité de découvrir un ouvrage.

Vendredi 27 Novembre à 20h à la librairie La Passerelle:


FRANCO LA MUERTE

 Un recueil de 20 nouvelles publié par les éditions Arcane 17.
uEn présence d'un des auteurs, Frédéric Bertin Denis que nous avions déjà rencontré à l'occasion de la parution de son roman Viva la muerte! 

Si vous l'avez déjà rencontré l'an dernier, vous reviendrez, c'est sûr. Mais si vous l'aviez raté, ne recommencez pas, cette fois ce serait impardonnable!!!







Viva la muerte!!

Archives














40 ans.. si le temps a passé la détestation est intacte, inscrite au plus profond de notre ADN. 
Et l'envie d'écrire est immédiate. Franco, les garrots, les fachos, les bigots, les toubibs, les courtisans, les cocos, les anars, les basques: vingt auteurs entament ici la grande parade des règlements de compte. 

Ces snipers de la plume visent juste et sur tous les tons: drôle, cocasse, grave, ironique, coléreux. A l'arrivée, on se dit que l'affaire n'est pas soldée. D'autant que l'Ogre a fait des petits , beaucoup de petits...

Message de Frédéric:



Salut à Tous,

Dans cette période troublée de terreur et de fascisme religieux, je vous envoie une petite piqûre de rappel....
Aujourd'hui, 20 Novembre 2015, il y a 40 ans que "Franco l'assassin" est mort dans son lit !Fêtons la mort du tyran catholique en pensant aux centaines de milliers de victimes de son régime et surtout, plus que jamais, 

BASONS NOS COMBATS SUR  L'INTELLIGENCE ET L'HUMANISME, NON PAS SUR LA PEUR ET LE REPLI SUR SOI !


VIVA LA VIDA !







Semaine argentine Jorge Gonzales. Problème.


Né à Buenos Aires en 1970, Jorge Gonzales vit en Espagne depuis une vingtaine d'années. Auteur de romans graphiques, de bandes dessinées et illustrateur de nombreux ouvrages, il a obtenu de nombreux prix.
L'an dernier à la Passerelle, vous avez découvert ses livres Bandonéon et Chère Patagonie. 

Mercredi 20 Mai, il ne sera malheureusement pas au Bistrot de la Médiathèque à 18h30 pour vous en parler et dédicacer vos exemplaires. Le colis qui contenait ses oeuvres s'est ..égaré ..à Barcelone. Vous pourrez toutefois découvrir son travail grâce à l'exposition de copies des affiches originales, salle Sciences. 




















Serge Mestre 
   

 VENDREDI 3 AVRIL 2015 à 20h à la Librairie Passerelle

Quand la guerre civile s’achève sur la victoire des franquistes, beaucoup de ceux qui avaient défendu la république espagnole s’enfuient vers la France : c’est la Retirada. Ils vont être arrêtés, et enfermés dans des camps à la sinistre mémoire comme celui d’Argeles. Parqués sur la plage, sans aucun abris, pas de sanitaires, presque pas de nourriture. Beaucoup n’en sortiront pas vivants.

Le père de Serge mestre, combattant républicain, blessé pendant la guerre fait partie de ceux qui se sont réfugié en France.

Son fils, va écrire ce livre « La lumière et l’oubli » pour évoquer le sort réservé aux vaincus dans l’après-guerre. La complexe situation espagnole de 1936 à 1995 est ici relue à travers des destins féminins.



1953, quelque part en Catalogne, deux adolescentes trompent la vigilance des gardes civils, sautent du train et s'enfuient à travers la campagne. Filles de Républicains espagnols, Esther et Julia échappent ainsi à leur sort dans une Espagne soumise au joug franquiste.
Mais c'est trente-cinq ans plus tard, en France, qu'elles retrouvent la pleine mémoire de leur aventure. Par vagues successives, le souvenir brûlant les submerge et l'Espagne qu'elles ont fuie ressuscite en une fresque irréelle et terrible où se croisent de multiples destins : enfants martyrisés dans les couvents, lourds secrets des familles adoptives, médecins convaincus de pouvoir extirper «le gène du marxisme», résistants passeurs qui risquent leur vie à la frontière…
Bien au-delà d'un classique roman historique, La Lumière et l'Oubli est une épopée du souvenir.

«Les plages du silence» sont celles du littoral méditerranéen, c’est Argelès qui fut dans le terrible hiver 1939 le lieu d’accueil inhospitalier, clôturé de fils barbelés, des républicains espagnols vaincus. Manu fut un des 90 000 réfugiés parqués à même le sable, et son fils aujourd’hui orphelin revient sur les lieux de cet emprisonnement pour interpréter, comprendre, réhabiliter l’image paternelle. Serge Mestre raconte sa propre histoire, celle de son père qui a fini le cours de sa vie à Castres, où lui-même est né et a grandi.

 Le récit, articulé autour de quatre lieux essentiels – Argelès-sur-Mer, Paris, Barcelone, Porto Christo –, est centré sur le personnage de Manu, militant trotskyste du POUM (1), réfugié, comme beaucoup de ses camarades de combat, en France en 1939. Son fils, qui porte le même prénom, part à la recherche du passé de son père, il creuse dans le sable, par exemple celui de la plage d’Argelès. On apprend, ou on nous rappelle – c’est selon – que ce lieu de villégiature a servi de camp d’internement pour les réfugiés : « On devait affronter les baraques insalubres, l’allée principale du camp. La rigueur de février gerçait la peau, crevassait la poitrine, creusait la terre. On avait profondément froid au cœur. On savait qu’on ne retournerait jamais en Espagne ».

L’auteur montre, tout au long du récit, comment ces événements ont forgé les consciences des combattants .L’un des mérites de Serge Mestre est de décomposer avec précision les mécanismes de la mémoire. C’est aussi évoquer les sujets qui fâchent à propos de ce conflit, les dissensions et affrontements entre anarchistes, trotskystes, communistes.

Biographie :
Conseiller pédagogique et responsable à l’Éducation nationale des relations internationales à l’Institut de formation des maîtres, il se met à l’écriture en 1991.Serge Mestre est par ailleurs le traducteur de quelques grands écrivains de ce temps : le Castillan Jorge Semprun, le Cubain Alejo Carpentier, le Galicien Manuel Rivas l’Argentin Alan Pauls et l’espagnole Almudena Grandes.


18 Mars 2015 
Très belle soirée où nous avons partagé l'enthousiasme de Michèle pour Gavo (sic) et son roman Chronique d'une mort annoncée à La Passerelle, notre bien-aimée librairie, foisonnante et pleine de belles surprises.
Merci Philippe pour ton accueil chaleureux et patient, car si nous partageons l'amour des livres et de l'Amérique latine, nous partageons aussi  les nourritures terrestres lors de ces soirées. Et ça fait un sacré bazar!

 Merci à tous les participants et à très bientôt pour le prochain café, le Vendredi 3 Avril à 20h. 
Nous recevrons Serge Mestre pour son roman "La lumière et l'oubli", disponible (aussi en poche) à la librairie La Passerelle







Le prochain Cafe literario aura lieu le mercredi 18 mars à 19h  Librairie La Passerelle.
 Discussion autour du roman du grand écrivain colombien, prix Nobel de littérature Gabriel Garcia Marquez, prix Nobel de littérature, décédé en 2014:





Chronique d’une mort annoncée 
. 
Animé par 
Michèle Carbonneaux.



et le suivant: SERGE MESTRE  le 3 AVRIL (info à suivre) 












26 MARS 2013









6 JUIN 2013






10 OCTOBRE 2013




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