http://www.livresdanslaboucle.fr/les-auteurs/les-auteurs-presents-litterature-generale/
Au Sénacle, rue de la vieille monnaie, à Besançon, dimanche 18 septembre, Eugenia Almeida, dans le cadre du salon du livre du grand Besançon Livres dans la boucle, l'ancien "mots doubs"
http://www.livresdanslaboucle.fr/
Eugenia ALMEIDA
Présence : Dimanche
Eugenia ALMEIDA est née en 1972 à Córdoba, en Argentine, où elle dirige des ateliers d’écriture et publie des textes dans de nombreuses revues. L’Autobus, son premier roman, a reçu le prix Las Dos Orillas de Gijón et a été publié en Espagne, en Italie, en Grèce et au Portugal, et La Pièce du fond était finaliste du prix Rómulo Gallegos. Elle écrit également de la poésie.
Livre : L’échange (Métailié | Argentine)
Une jeune femme, à la sortie d’un bar, en plein jour, menace un inconnu puis retourne son revolver contre elle-même et se suicide : c’est clair comme de l’eau de roche. Pas la peine de s’éterniser. Mais Guyot, le journaliste, veut comprendre. Il cherche. Il s’obstine. Dans le bar que fréquentait la victime, il découvre une alliée, psychanalyste à la retraite, qui l’écoute en descendant des petits verres de vodka. Les voix se multiplient. L’atmosphère est opaque, oppressante. La mécanique de la violence est encore bien huilée.
Eugenia ALMEIDA
Présence : Dimanche
Eugenia ALMEIDA est née en 1972 à Córdoba, en Argentine, où elle dirige des ateliers d’écriture et publie des textes dans de nombreuses revues. L’Autobus, son premier roman, a reçu le prix Las Dos Orillas de Gijón et a été publié en Espagne, en Italie, en Grèce et au Portugal, et La Pièce du fond était finaliste du prix Rómulo Gallegos. Elle écrit également de la poésie.
Livre : L’échange (Métailié | Argentine)
Une jeune femme, à la sortie d’un bar, en plein jour, menace un inconnu puis retourne son revolver contre elle-même et se suicide : c’est clair comme de l’eau de roche. Pas la peine de s’éterniser. Mais Guyot, le journaliste, veut comprendre. Il cherche. Il s’obstine. Dans le bar que fréquentait la victime, il découvre une alliée, psychanalyste à la retraite, qui l’écoute en descendant des petits verres de vodka. Les voix se multiplient. L’atmosphère est opaque, oppressante. La mécanique de la violence est encore bien huilée.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire